rupture

"[...]. Ma claque ! Fallait que je tourne la page... irrévocable. Ca me prend comme ça... je casse brusquement, parfois sans raison bien précise, sinon que j'ai trop vu une tête... une paire de fesses, je m'explique pas ça autrement... la satiété ! Avec certains potes, ça vient de cette fameuse goutte d'eau qui déborde d'un vase qu'ils remplissaient sans bien s'en rendre compte. Ces coups de tête vont parfois contre mes intérêts les plus immédiats. Le cas typique avec la grosse Lulu... la privation d'andouillette, de pieds panés... de centaines de mètres de boudin... toutes les gâteries alimentaires dont elle me comblait. Je n'insiste pas sur ses divines turlutes (1)... toutes les mignardises du plumard qu'elle me prodiguait sans retenue."

Alphonse Boudard : Le café du pauvre, Editions de la Table Ronde, 1983, pp. 94-95.

NOTE JMS :

(1) Fellation, en argot.