pianiste

"Chaplin disait avoir rencontré trois génies : Churchill, Einstein et Clara Haskil (1). Disparue en 1960, la pianiste marqua les esprits par son jeu à la fois léger et virtuose. Enfant prodige, elle entre à l'âge de 6 ans au conservatoire de Bucarest, puis joue avec les plus grands... [...]. [A son propos,] Gabriel Fauré (2) s'exclamait : "Je ne savais pas qu'il y avait autant de musique dans ce que j'avais écrit." [...]."

"[...]. Clara Haskil mourut à la suite d'une chute dans les escaliers de la gare de Bruxelles. Ses derniers mots furent ceux d'une pianiste : "Heureusement que mes mains n'ont rien !"

Alexandra Klinnik : encadré Télérama consacré au documentaire de Pascal Cling, Pierre-Olivier François et Prune Jaillet : Clara Haskil : le mystère de l'interprète (Suisse, 2016, 60 mn.)

NOTES JMS :

(1) Cf. not. : https://fr.wikipedia.org/wiki/Clara_Haskil, https://clara-haskil.chhttps://www.francemusique.fr/personne/clara-haskil et https://www.francemusique.fr/evenements/clara-haskil-le-mystere-de-l-interprete

(2) Cf. not. : https://fr.wikipedia.org/wiki/Gabriel_Fauré, https://www.musicologie.org/Biographies/f/faure_gabriel.html et https://www.francemusique.fr/personne/gabriel-faure