- Robert Louit : "Toute votre oeuvre parle de la façon dont les gens apparaissent et disparaissent dans nos vies. C'est une préoccupation qui porte déjà quelque chose de fantastique en elle, et il n'y a pas besoin de pousser très loin pour en tirer une histoire fantastique."
- Adolfo Bioy Casares : "Je pense que vous avez raison. J'ai cette sensation que la vie elle-même, avec ces passages de gens, est déjà une littérature fantastique. [...]."
Robert Louit : entretien avec Adolfo Bioy Casares, Magazine littéraire n° 291, sept. 1991, p. 102.