Hells Angels

Dans un encadré Télérama consacré au documentaire de Marcel Wehn intitulé Hells Angels - Entre frères. Lutz Schelhorn et le Charter Stuttgart (Allemagne, 2014, 90 mn), Yohav Oremiatzki écrit :

"On est quelque part entre les films Easy Rider et Mammuth. Cuirs, tatouages et Harley-Davidson, les Hells Angels de Stuttgart sont précédés de la même réputation que leurs pairs américains ou scandinaves : ils formeraient un gang dangereux et violent. Eux se voient comme une grande famille soudée autour de la moto, du rock et de la défense des libertés."

"[...]."

"[...]. Mais à force d'entretiens, son portrait intime [...] expose les nombreuses contradictions des Hells Angels. Ils ont beau montrer patte blanche et se présenter comme les victimes d'un système liberticide, Lutz Schelhorn et ses compères passent pour des hors-la-loi. Un membre du club est accusé de viol ? On réprouve vigoureusement mais on ne l'exclut pas. Un autre est accusé d'avoir tiré sur un policier à travers une porte ? Ce dernier n'avait qu'à pas "trifouiller sa porte" ! [...]."