"[...]. Archipenko, t'es rien toc. Bien que le juif et sérieux Apollinaire ait écrit dans une de ses dernières critiques : "Que ceux qui rient d'Archipenko sont à plaindre", je trouve que ceux qui rient devant une fumisterie ou un chef d'oeuvre sont des gens heureux. [...]."
Arthur Cravan : revue Maintenant n° 4, mars-avril 1914 (à propos du Salon des Indépendants).
Rééd. : Maintenant avril 1912 - mars-avril 1915, Seuil, col. "l'école des lettres", 1995, p. 93.